Méditations sur le cannabis

D'une retraitée de police…

Des femmes courbées, meurtries, hantent les cimetières, rasent les murs, cachées sous leurs foulards sombres.
Leurs fils sont là, couchés, au sommeil éternel, ils ne partiront plus, la « faucheuse » est passée…

Jadis adolescents, au sortir des écoles, on leur avait vendu des rêves éphémères.
Quand veillaient les vautours, et lâchaient leurs corbeaux, comme des marchands de sable, s'abattant sur leurs proies.

Michaël a voulu, leur donner ses étrennes, car ils avaient promis, la lune et les étoiles.
Mais lui voulait bien plus…Il vole vers le soleil, il n'est plus Michaël, il se prénomme « Icare » …
Ses pensées embrumées, loin des réalités, le conduisent aux voyages dont on ne revient plus.

Douce, douce…fumée douce…
Les vautours avaient dit, que c'était anodin, qu'il prendrait des chemins, dont pour sûr… on revient…
Et « l'infidèle » heureux, va tenter l'aventure.

Cachées dans les montagnes, loin de ces lieux, là bas …D'autres femmes courbées, sous le soleil travaillent. Elles cueillent et cueillent encore, sous un astre brûlant, des feuilles étoilées aux senteurs poivrées.
Elles s'activent sans cesse au pénible labeur. Mais le soir, comblées, lorsqu'elles rentrent des champs, un couffin sur le dos, lourd des précieuses herbes, elles chantent heureuses et rient.
Elles courent vers leurs enfants qu'elles serrent dans des bras, meurtris et fatigués.
Ils vivront aujourd'hui, ils mangeront demain…
Elles roulent la semoule lorsque gonfle le grain.
A la théière qui chante, on apporte la menthe, et les gâteaux au miel, à nouveau sur la table, égayent des moments familiaux et sereins.

Le chef des vautours est passé ce matin, il a donné des pièces, à peine de quoi survivre…
Et dans sa Cadillac, il a repris la route, qui le conduit au port.

Michaël le rêveur…dans la petite auto, empruntée à sa mère, roule vers la lumière, il prépare un rallie.
Puis comme un grand champion, remporte des victoires, il plane sur la route, il fauche une fillette…
Mais dans sa course folle, il ne peut s'arrêter, il fonce sur le pont…

La sonnette retentit, la femme est allée, apprendre la nouvelle, que deux hommes en bleu, lui ont portée, navrés.
Ils entrent dans la chambre, aux décors enfantins, ne reconnaissant pas, le portrait accroché, tant celui qu'ils ont vu, était défiguré.
L'odeur acre de la pièce, encore tiède enfumée, révèle la détresse, d'un enfant abusé en sortant de l'école.
Douce…Douce, fumée douce…
Elles tournent en rond, les ombres, qui s'éloignent, amères…
De leurs larmes mêlées, naissent des ruisseaux, des rivières et des mers…
Femmes occidentales, ou femmes Orientales… Pauvres mères…

Paritas





Accroche toi.
Fais le pour toi
Fais le pour moi
Fais le pour tout ceux comme nous qui n'avons d'autres choix que de subir. Rejete cette merde, refuse d'abdiquer devant l'irréversible. Ne cherche pas a inverser ou a reverser. Fais de ta vie une creation. Invente toi un moyen d'apprecier la vie plus. N'oublie pas, tu deviens une personne exceptionnelle a partir du moment ou tu te mets a y croire et a agir en consequence.
Merci

neyotic





Dessin et texte : un ancien fumeur... Sur le visage de la feuille on peut lire de la tristesse...
On peut s'imaginer plein de choses qu'elle pourrait endurer avec cannabis comme par exemple :

  • la tristesse de la dépendance (manque de joints)

  • comme si la feuille était victime d'un BAD TRIP physique ou/et psychique...

  • comme si elle fumait pour essayer de s'évader du monde de la réalité qu'elle n'assume pas... alors que le cannabis ne résoudra pas ses problèmes et sa déprime, mais au contraire aggravera les choses...(le joint aggrave la dépression)
Dessin et texte : un ancien fumeur...





Dessin et texte : Florian Marais, un ancien fumeur... Tu es jeune et plein de vie
Mais quand tu fais ce que tu fais
Tu te détruis

Tu effaces ta personnalité
Pour suivre le mouvement
Pour essayer d'oublier

Tu appartiens à un clan
Ou s'attaquer à un splif
Est le signe de ralliement

Pour avoir ce que tu kiffes
Et continuer à te mutiler
T'es prêt à sortir le canif

Montres que tu as de la volonté
Et prouve ton courage
Et montrant vraiment qui tu es

A ce putain d'entourage
Qui t'incite pour la vie
A rester dans cette cage

Alors arrête de dire "oui"
Qand le méga se présente à toi
Par tes soi-disant amis...






"Le jeune qui se drogue est " en conflit avec lui-même " et n'acceptepas la vie. Il " consume sa vie " en utilisant des produits qui favorisent " l'extinction du désir et du goût de vivre ".

l'usage de la drogue implique un " renoncement injustifié et irrationnel à penser et agir en tant que personne libre ".

J.P.2



"La drogue est souvent présentée et vécue comme une nouvelle liberté pour affirmer l'individualisme régnant et un subjectivisme sans limite. La tendance actuelle valorise les sensations et les émotions au détrimentde la raison et de la pensée. "

Mgr PHILIPPE BARBARIN

"On dit : " je ressens " au lieu de " je pense ". Seul ce qui est ressenti existe. Il faut donc créer toujours plus de sensations avec l'aide de psychostimulants."

"La drogue a toujours existé. Mais elle était le fait d'une minorité d'adultes. Le drame d'aujourd'hui c'est qu'elle concerne les 12-40 ans et en particulier les adolescents qui s'abîment à consommer du cannabis et d'autres poisons."

Tony ANATRELLA

Je suis la drogue mon Nom vous fait frémir ! je suis l'amie fidèle de l'alcool, et tout comme lui, je vous déteste au plus haut point, surtout les jeunes. Mon travail est l'abrutissement du cerveau; c'est ma spécialité.

Je trouve les arbres laids et j'ai une sainte horreur des fleurs. La nature que votre dieu a créée, je la trouve affreuse, c'est pourquoi j'expédie les gens qui me consomment dans des pays d'épouvante et de désolation, d'où très souvent, on ne revient pas. J'aime les gens sans morale, la saleté, le désespoir, et la mort.

Mondialement connue, je traverse les continents à la vitesse de l'éclair et je laisse sur mon passage la destruction et la folie ! Merci de me vendre, de me consommer, de me cacher; votre aide m'est infiniment précieuse pour anéantir ce qui reste d'Amour sur terre. Je suis l'ennemie juré du bonheur, alors consommez-moi sans réserve.
Vous voulez devenir un de mes vendeurs ? Je suis toujours à la recherche de sang nouveau, tel un vampire.

Mon seul ami est l'alcool : nous faisons une belle paire de salauds. Il m'aime et me respecte. Hé, les jeunes ! Vous voulez me confier vos cerveaux ! Je vous promets de les détraquer à tout jamais et par la même occasion, de faire de vous de véritables loques humaines.

Avec un peu de chance, vous pourriez vous suicider ou terminer votre vie à l'asile ou en prison ! Je vous laisse réflechir...Il faut que je vous quitte, je suis débordée de travail.

PS : Excusez-moi, mais je n'aurai pas de temps à perdre pour assister à votre déchéance ou vos funérailles.

Sans aucun remords...


Auteur inconnu




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